mercredi 31 août 2016

C'est la rentrée !


LA RENTREE… POUR LES TOUTOUS AUSSI !


Au retour des vacances, les animaux aussi ont le blues...
Plus de jeux, ni de balades à la mer, la campagne ou la montagne: quand sonne l'heure du retour de vacances, les animaux de compagnie ont le blues de la rentrée, comme les enfants qui retrouvent le chemin de l'école.
Aboiements, pleurs, chaussures et meubles mâchouillés, poubelle renversée, pipi sur le tapis: autant d'indices qui doivent alerter le maître sur le mal-être de son animal de compagnie.
Si un chien aboie à tue-tête, détruit le mobilier à son retour à la maison, après des vacances passées avec son maître, un membre de la famille ou en famille d'accueil, c'est qu'il souffre du manque de compagnie et qu'il a le blues de la rentrée».
Surtout ne le punissez pas ! En jouant avec les objets de son maître, le chien garde un contact avec lui. En revanche, vous devez lui réapprendre la solitude pour éviter vocalises, destructions d'objets et malpropreté.
Pour le chien comme le chat, les professionnels animaliers conseillent de mettre en place des jeux pour les occuper pendant que le maître est au travail et l'enfant à l'école.
Rétablir des rituels
-  Il faut aussi rétablir des rituels pour que l'animal garde le moral une semaine environ avant la fin des vacances.
-  Il faut continuer de promener son chien le matin et le soir, mais avec des balades plus courtes et le nourrir à heure régulière, comme lorsqu'on travaille.
-  Comme les hommes, les animaux font aussi des excès alimentaires pendant les vacances et un retour aux bonnes habitudes culinaires s'impose.
-  Fini le grignotage, il faut rééquilibrer l'alimentation des chats et surtout des chiens, s'accordent à dire les professionnels animaliers.
Mais, parfois les troubles du comportement persistent et deviennent récurrents. Si l'animal refuse de s'alimenter plusieurs jours et reste prostré, le mal est plus profond qu'un simple cafard de rentrée. Dans ce cas, une consultation chez un spécialiste du comportement s'impose peut-être.

CA Y EST, ON RETOURNE SUR LES BANCS DE L’ÉCOLE, ON REPREND LE TRAVAIL, LE RYTHME DE VIE PLUS EFFRÉNÉ… ET POUR NOTRE CHIEN, CELA CHANGE-T-IL QUELQUE CHOSE ?


Vacances avec son chien


Si votre chien a eu la chance de vous accompagner en vacances, ou de vous avoir eu bien plus souvent près de lui à la maison pendant cet été, la réponse est oui. Car pour lui, le rythme de vie s’en voit également modifié. En effet, si vous avez passé plusieurs semaines à la maison ou ailleurs, mais avec votre chien, celui-ci s’est habitué à votre présence constante ou quasiment constante. Et lorsque vous reprenez le travail et le laissez à nouveau seul en partant 8h par jour voire plus du jour au lendemain, la transition risque d’être brutale. Certains pourraient en effet ne pas comprendre pourquoi ils se retrouvent à nouveau seuls et développer un syndrome de l’abandon, c’est-à-dire se croire abandonnés.


Anxiété de séparation


Qui dit syndrome de l’abandon dit presque à coup sûr anxiété de séparation. Ce trouble comportemental correspond à une difficulté ou une impossibilité de rester seul. Votre chien pourrait en effet, du jour au lendemain, ne plus supporter la moindre solitude. Par anxiété, il pourrait dès lors se mettre à démolir, vocaliser ou se laisser aller dans votre maison en votre absence. Aucun de ces comportements n’a pour origine un sentiment de vengeance, loin de là. D’ailleurs le sentiment de vengeance n’existe pas chez le chien, contrairement au chat.

Non, votre chien risque de démolir simplement dans le but d’extérioriser cette angoisse terrifiante qui est en lui. De préférence, il choisira des objets que vous prenez régulièrement en main (télécommande, livre, lunettes, gsm, etc.) pour avoir votre odeur près de lui et tenter ainsi de se rapprocher de vous. Une autre alternative est de démolir les portes ou barrières par lesquelles il vous a vu partir, dans l’espoir de vous rejoindre.

Par vocalisations, on entend aboiements, pleurs ou hurlements. Là encore, votre chien ne le fait certainement pas pour vous ennuyer, mais pour exprimer son mal-être tout simplement.
Enfin, vous pourriez retrouver déjections urinaires ou fécales à votre retour, dues au fait que par anxiété, le métabolisme de votre chien s’est tellement accéléré qu’il lui a été impossible de se retenir.


Pas de punition au retour

Vous l’aurez compris, aucun de ces comportements n’aura été effectué exprès par votre chien. Inutile donc de le gronder à votre retour. Vous ne feriez d’ailleurs qu’augmenter son anxiété et donc risquer d’empirer les vocalisations, déjections ou destructions.

D’ailleurs, s’il est utile de le rappeler, une punition, dans tout cas de figure, doit toujours suivre immédiatement le comportement indésirable. Dans le cas contraire, votre chien ne peut comprendre pourquoi il est puni. Il comprendra toujours que vous êtes fâché sur lui, ça oui, mais il ne comprendra pas pourquoi. Ceci tout simplement parce qu’un chien vivant au présent et uniquement au présent, il lui est impossible d’associer une punition qui a lieu au présent avec un fait qui a eu lieu au passé.

Alors que faire ?


Pour éviter que votre cher compagnon ne développe une anxiété de séparation lors de votre retour au travail, il conviendra donc de le préparer à ce changement de rythme. Oui mais comment ? Tout simplement en faisant en sorte que le rythme ne change pas brutalement, c’est-à-dire éviter de passer du jour au lendemain d’un rythme où il y a constamment quelqu’un à la maison à un rythme où la maison est vide 8h d’affilée. Il s’agira donc de laisser son chien quelques fois tout seul à la maison avant de recommencer à travailler, et ce lors de périodes de plus en plus longues. Par exemple, vous pouvez commencer par 1/4h, puis 1/2h, puis 1h et ainsi de suite jusqu’à arriver plus ou moins à la durée de vos absences professionnelles, c’est-à-dire 6 à 7h. Ainsi votre chien se réhabitue progressivement à rester seul, et le retour à la vie active se fera plus doux pour lui.


Un chien n’est pas l’autre


Tous les chiens ne risquent pas de développer un syndrome de l’abandon. Cela dépend de beaucoup de facteurs : leur personnalité, leur vécu, leur lien avec le maître ou la famille, etc. Dans le même ordre d’idées, certains le développeront après seulement une semaine de présence de leur maître, et pour d’autres ce sera peut-être après un ou deux mois de repos à la maison. A nouveau, un chien n’est pas l’autre. Mais pour éviter tout risque, il est toujours préférable de réapprendre en douceur à votre chien à rester seul.


S’il est trop tard…


Si vous n’avez pas fait de réapprentissage à la solitude avant la reprise du travail et que votre chien a déjà développé une anxiété de séparation, tout n’est pas perdu. On peut toujours résoudre un trouble comportemental, quel qu’il soit, et ceci chez tout chien, jeune ou âgé. Dans ce cas, le travail sera sensiblement le même, sauf qu’il sera plus conséquent. En effet, comme votre chien est déjà dans une incapacité de rester seul, si vous partez ne fût-ce qu’un quart d’heure, vous retrouverez déjà des dégâts à votre retour. Il faudra donc également effectuer un réapprentissage à la solitude, mais en commençant par des durées d’absence infimes. On partira donc juste 30 secondes, puis 1 minute, 2 minutes, 5, 10, 15, 20, 30, 45 minutes, 1h, 1h30 et ainsi de suite jusqu’à atteindre le temps d’absence habituel. Le but étant de réapprendre à votre chien que quand vous partez, vous revenez. Pour qu’il puisse l’apprendre, il faut qu’il soit dans un état serein, et non dans un état de panique. C’est pourquoi il est nécessaire de commencer par de si courtes absences.


Pas d’au revoir


Une dernière chose à faire, à chaque absence cette fois, c’est d’ignorer votre chien avant de partir. En effet, si vous lui portez de l’attention puis le laissez d’un coup dans une maison vide, le choc sera brutal pour lui. Il convient donc de l’ignorer complètement un quart d’heure à vingt minutes avant de partir. Cela lui offrira une période de transition lui permettant d’accepter plus facilement votre absence. Au retour, c’est pareil, ignorez votre chien quelques dizaines de secondes au moins avant de le saluer. C’est difficile à faire, et votre chien semblera frustré sur le moment, mais vous lui faciliterez nettement la tâche pour vos absences futures.


Texte: Julie Willems comportementaliste


En résumé ...

Si vous avez passé vos vacances avec votre toutou et étiez donc 24h/24 ou quasi avec lui, réapprenez-lui à rester seul avant de recommencer à travailler. Votre chien habitué à votre rythme de vie habituel, à savoir par exemple que vous partez travailler 5 jours sur 7 et le laissez seul environ 8h par jour ces 5 jours. Puis vous prenez congé deux semaines pour rester à la maison ou partir en vacances avec votre toutou. Vous passez donc une très grande partie de votre temps avec lui, et votre chien s'habitue à ce nouveau rythme de vie. Il est constamment avec vous et il exulte de joie. Mais toute bonne chose a une fin et il faut recommencer à travailler. Vous laissez donc comme d'habitude votre chien seul à la maison pour partir durant 8h le premier jour de reprise. Et lorsque vous rentrez à la maison, vos voisins se plaignent que votre chien a pleuré ou aboyé toute la journée. Ou vous retrouvez des déjections partout dans la maison. Ou vous retrouvez le chambranle de la porte d'entrée en miettes ou le canapé en morceaux. Non, votre chien n'est pas devenu fou. Il a simplement développé un syndrome de l'abandon. Il n'était plus du tout habitué à ce rythme de travail, lui qui pensait dorénavant qu'il allait vivre 24h/24 avec son maître bien-aimé. Il a paniqué de se retrouver seul si longtemps, cru qu'on l'avait abandonné et qu'il était livré à lui-même. Il a donc vocalisé pour exprimer son mal-être, s'est laissé aller parce que le stress l'a empêché de se retenir et/ou a détruit pour extérioriser son anxiété.

il est donc nécessaire de lui réapprendre à rester seul avant de recommencer votre rythme de travail. Laissez-le donc seul 5-10 min. d'abord, puis 1/2h, puis 1h-1h30, et enfin 3-4h, ceci afin de lui réapprendre progressivement qu'il devra à nouveau rester seul pendant la semaine dorénavant. Vous ne retrouverez aucun dégât à votre retour, mais surtout, votre chien recommencera sereinement son "rythme de travail".

Tous les chiens ne risquent pas de développer un syndrome de l'abandon. Mais pour éviter tout risque, il est toujours préférable de réapprendre en douceur à votre chien à rester seul.



Bonne reprise...

mardi 30 août 2016

Tabac et animal domestique.

L'université de Glasgow a publié, en décembre 2015, un communiqué sur son étude concernant le tabac et … les animaux domestiques !

Tabagisme passif : le tabac nuit à la santé de votre animal !L’étude établit un lien entre un environnement enfumé et un risque accru de maladies chez nos compagnons, dont des risques de cancer et de prise de poids. L’étude a été réalisée par Clare Knottenbelt, professeur de médecine et d'oncologie à l'Institut vétérinaire de cette université écossaise. Elle a observé les effets de la cigarette sur des familles de chats et de chiens.

Les chiens castrés et les chats sont les victimes les plus fragiles

«Nous avions déjà démontré que les chiens absorbent une quantité significative de fumée quand ils vivent dans une maison. Notre étude sur les chats montre qu'ils sont encore plus affectés, peut-être à cause de leur toilette minutieuse qui accroitrait la quantité de fumée absorbée par leur corps» précise le professeur.

Les chiens castrés auraient également, d’après l’étude, plus de risque de développer des cancers et de prendre du poids à cause de la fumée de cigarette.

Que faire pour les protéger ?

"Le risque pour le fumeur se double d’un risque de tabagisme passif pour les autres. Les propriétaires de chiens et de chats oublient souvent le risque qu’ils font courir à leurs animaux", déclare Clare Knottenbelt.

En-dessous de 10 cigarettes par jour, le taux de nicotine dans les poils seraient beaucoup moins important.

La meilleure solution pour préserver votre animal reste, pour le professeur, d’arrêter de fumer ou de fumer à l’extérieur de votre habitation.

L’étude est en cours et les résultats détaillés devraient être publiés courant 2016.

Sources : http://www.gla.ac.uk/news/headline_438291_en.html

lundi 29 août 2016

A propos de la zoothérapie...


La zoothérapie est une technique de soins qui utilise l’animal pour améliorer des troubles physiques ou mentaux chez l’être humain, c’est à dire à des fins thérapeutiques.

C’est le pédopsychiatre américain Boris Levinson qui a promulgué cette technique, en utilisant son chien Jingles (« the dog as co-therapeut » 1962). Celui-ci avait une première fois en 1953, par hasard lors d’une consultation, permis à un jeune enfant autiste de sortir de son isolement.

Depuis, de nombreux thérapeutes se sont penchés sur le sujet et notamment Ange Condoret, fondateur de l’AFIRAC (association française d’information et de recherche sur l’animal de compagnie) et vétérinaire. Il mit en place à partir de 1976 l’IAMP (l’intervention animale modulée précoce) permettant de favoriser la communication non verbale chez les enfants ayant des troubles de la communication.

Les bénéfices liés à la présence de l’animal seraient des améliorations cardiovasculaires (baisse de la tension artérielle), une amélioration des état anxieux (dépression…) le ralentissement du vieillissement cérébral ou encore l’amélioration d’états plus lourd comme certaines maladies psychiatriques de l’enfant notamment.

Or, les études disponibles font surtout état de cas particuliers, dégageant des « tendances » à une éventuelle amélioration. Elles demandent à être complétées et réalisées selon des protocoles rigoureux sur un plus grand nombre de cas. Aujourd’hui certains auteurs font état des risques que courent les enfants ou les adultes au contact de certains des animaux utilisés en thérapie (l’on risque par exemple des morsures lors de contacts mal préparés avec des chiens) …

S’il est indéniable que le contact avec un animal de compagnie peut amener des satisfactions et plus généralement du bien-être, et si la possession d’un animal de compagnie est censée améliorer l’état physique et mental de l’être humain, sa détention est parfois une source de contraintes, voire de nuisances que le nouveau propriétaire de l’animal n’a pas anticipées. Il faut donc être prudent en matière de zoothérapie, et recommander que celle-ci soit mieux étudiée et au moins encadrée par des professionnels de santé dont a minima des vétérinaires pour que le bien être de l’animal soit également pris en compte.

dimanche 28 août 2016

Faut-il envoyer mon chien au panier en punition ?

L’envoyer au panier lors de punitions va –t-il lui faire détester son panier ?

Voici l'avis d'un spécialiste en comportement :
Yago & Mojito ... au panier
 mais sûrement pas punis !

Mais non. C’est la même chose que pour l’enfant que vous envoyez se calmer dans sa chambre. La chambre elle-même n’est pas punitive. C’est la mise à l’écart qui est la punition. Le chien doit comprendre qu’il est exclu lorsqu’il fait une bêtise ou qu’il dépasse les bornes que vous lui avez fixées.

 Le panier est le lieu idéal pour l’envoyer « au coin » s’il est bien placé, c’est à dire s’il n’est pas dans le passage mais bien à l'écart.

samedi 27 août 2016

Le mois de septembre

C'est la rentrée.... chez GRB pour que le mois de septembre soit moins difficile on vous a concocté
2 balades. A noter sans tarder dans votre agenda.

Le dimanche 11 septembre : Repas barbecue & balade à Nodebais



Le dimanche 25 septembre : Repas au restaurant " Au Val d'or" & balade sur la plage



Toutes les informations concernant ces 2 rendez-vous sur:
 www.galgosrescuebelgium.be rubrique "agenda"

vendredi 26 août 2016

Soignez votre animal domestique ? Voici sept conseils


Salud by Sophie Dister.
   1. Tout comme leur maître, les chiens et les chats savent apprécier un menu varié. Combinez donc parfois les aliments secs à des aliments humides ou de savoureux snacks pour vous assurer qu’ils profitent d’une alimentation saine, variée  et équilibrée.  Soyez prudent lorsque vous donnez des restes à votre animal, car ils sont néfastes pour leur santé.

2. Il est important que vos petits compagnons soient actifs. Si votre chat passe beaucoup de temps à l’intérieur, installez un arbre à chat/griffoir pour lui permettre de bien s’allonger ou de faire ses griffes.  Si vous avez un chien, emmenez-le lorsque vous quittez la maison. Faites une longue promenade dans les bois ou sur la plage et amusez votre quadrupède à l’aide de quelques jouets, allant d’une balle à lancer à une peluche. Lors de ces randonnées, n’oubliez pas la laisse et les sachets ramasse-crottes pour que les passants aussi se sentent à l’aise. En hiver, envisagez de mettre à votre chien, un manteau et un collier LED pour garantir sa sécurité dans l’obscurité.
Songez à porter vous-même aussi des accessoires réfléchissants ou une lumière LED pour augmenter votre visibilité.

3. Qui dirait non à un traitement de beauté ? Votre animal de compagnie aussi aime se faire gâter. Prenez un moment pour brosser votre chien. De cette façon, vous réduisez non seulement le risque qu’il devienne malade, vous créez aussi un lien plus étroit entre vous deux.  En même temps, cela vous permet de détecter la présence éventuelle de tiques que vous pouvez enlever à l’aide d’une pince à tiques. De temps en temps, dorlotez-le totalement en le lavant avec un shampooing spécial pour chiens ou en lui coupant les ongles avec un coupe-ongles adapté aux griffes des chiens. 


Salud,Timy, Happy, Quiero, Mia, Lila, Aténéa,Kali & Romy.
Toute la meute sur une photo !
4. Nos animaux domestiques ont eux aussi besoin d’un endroit où se reposer. Prévoyez donc un panier /coussin pour votre chien ou chat où il peut se retirer quand il en a besoin. En effet, les chiens et les chats sont des animaux de compagnie, mais ils ont parfois besoin de temps à eux seuls.

5. Ce n’est peut-être pas le point le plus agréable de la liste, mais il est très important de passer de temps à autre chez le vétérinaire avec votre animal. Ainsi vous veillez non seulement à ce qu’il reçoive tous ses vaccins à temps, mais aussi à ce qu’il soit régulièrement vermifugé.

6. Vous emmenez votre chien en vacances? Nous ne pouvons que vous en féliciter! Il existe plusieurs modèles et formats de cages et de bacs de transport pour faciliter le voyage en voiture. Vous n’avez pas beaucoup d’espace dans votre voiture ? Optez pour un harnais de sécurité pour votre chien que vous pouvez utiliser comme ceinture de sécurité. Ainsi, votre chien peut vous accompagner en tout confort et en toute sécurité.

7.Finalement, n’oubliez pas que vos animaux domestiques sont le plus heureux quand vous leur donnez suffisamment d’attention et quand vous les caressez et grattez de temps à autre. Rien de plus simple !

jeudi 25 août 2016

GRb a testé pour vous...

Disponible en 5 couleurs

Aujourd'hui j'aimerais vous présenter la lampe de sécurité pour chien "Orbiloc Safety light".
 

A partir de l'automne, il est important de prévenir les usagers de la route de votre présence lorsque vous partez en promenade avec votre chien. Orbiloc  diffuse une lumière brillante qui attire l'attention des conducteurs. Fixée au collier du chien ou à vos vêtements, cette lampe pratique vous offre une sécurité maximale lors de vos promenades.

La lumière émet un signal qui garantit votre sécurité en attirant l'attention des autres usagers de la route. Avec une portée de 5 km et un rayon lumineux étendu, vous et votre chien êtes rapidement visibles des usagers et évitez ainsi les situations dangereuses.

En fonction du temps et de l'environnement, vous pourrez sélectionner deux modes de fonctionnement : l'ampoule est fixée sur un collier en plastique qu'il suffit de tourner pour sélectionner le mode « continu » ou « clignotant ».

Cette lampe est très solide et peut résister à une pression jusqu'à 100 kg. En outre, son boîtier est entièrement étanche jusqu'à 100 m et résiste donc aux promenades dans la neige, la pluie ou même dans l'eau. Grâce à sa forme plate, la lampe ne gênera pas votre chien pendant le jeu ou la sieste.

Afin de fixer solidement la lampe, serrez la bande en caoutchouc fournie autour du collier de votre
Prix indicatif : 25€
chien avec la boucle et réglez-la de façon à ce qu'elle s'adapte parfaitement à la morphologie de l'animal. Vous pouvez également fixer la lampe Orbiloc à vos propres vêtements (manche, ceinture ou autour de la jambe) pour vous assurer que vous et votre chien soyez toujours visibles des autres.

La lampe Orbiloc est l'accessoire de sécurité indispensable pour que votre galgo soit visible en
promenade. Conçue à l'origine pour les chiens militaires, la lampe Orbiloc est fabriqué selon des normes de haute qualité professionnelle. Disponible à la boutique "Galgos Rescue Belgium"
 
Les avantages de la lampe Orbiloc Safety Light : 
  • La lampe Orbiloc Safety Light est composée d’ampoules de type LED pour une plus grande brillance et ne dégage pas de chaleur. Elle offre aussi une faible consommation pour une plus grande longévité de piles au lithium (fournies).
  • La lampe Orbiloc Safety Light se fixe facilement grâce à un système d’attache à la laisse, au collier ou au harnais de votre chien.
  • La lampe Orbiloc Safety Light est disponible en 5 coloris afin de différencier plusieurs chiens dans un même groupe.
  • La lumière de la lampe Orbiloc Safety Light a une portée de 5 km.
  • La lumière de la lampe Orbiloc Safety Light peut fonctionner en mode « clignotant » (environ 250 heures d'autonomie) ou «  continu » (environ 100 heures d'autonomie).
  • La lampe Orbiloc Safety Light est étanche jusqu’à 100 m.
  • La lampe Orbiloc Safety Light résiste à une pression jusqu’à 100 kg.
  • La lampe Orbiloc Safety Light fonctionne même à des températures extrêmes de -40ºc à +50ºc.
  • La lampe Orbiloc Safety Light est garantie 3 ans.
 
Fixation de la lampe Orbiloc Safety Light :
La lampe Orbiloc se fixe facilement autour du collier à l'aide d'une bande Velcro (fournie). 

mercredi 24 août 2016

Balade d'Hastière

Sur notre site www.galgosrescuebelgium à la rubrique "compte-rendu" vous pourrez lire et visionner toutes les photos de notre dimanche à Hastière !

En guise d'apéritif en voici quelques-unes ...



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mardi 23 août 2016

Vivre avec un chien aveugle ou sourd

 
Le chien aveugle ou sourd est réputé difficile à gérer voire impossible à éduquer. Il n’en est rien. Cette légende repose principalement sur la difficulté de l’être humain à s’adapter. Deux cas de figure se présentent : votre chien est né sourd ou aveugle ou, deuxième possibilité, il l’est devenu. Il faut vérifier avec votre vétérinaire le degré de son handicap : pour la surdité, une consultation spécialisée en neurologie ainsi que la mesure de potentiels évoqués auditifs (PEA) sont recommandés. Pour la cécité c’est généralement plus facile à déceler sauf si l’animal n’est atteint que sur un seul œil… néanmoins une consultation spécialisée en ophtalmologie est également recommandée.
 
Lorsque les troubles existent déjà à la naissance, la surdité ou la cécité sont dites « congénitales »
Dans ce cas, la surdité ou la cécité sont héréditaires ou bien dues à des atteintes durant la gestation par des médicaments ou des produits toxiques, des infections…
Certaines races sont prédisposées aux atteintes congénitales.
Parmi les chiens prédisposés à la surdité congénitale l’on trouve les Dalmatiens, Bergers Australiens, Dogues Argentins, Jack Russel Terriers, Labradors, Pinschers nains, Yorkshire terrier, Akitas Inu, Bergers allemands, Bouledogues français, Bouledogues anglais, Chihuahuas…
Parmi les chiens prédisposés à la cécité congénitale l’on trouve : les Bergers australiens, Dogues allemands, Colley, Dalmatiens, Briards, Bergers Américains miniatures, Boer bulls, Borders Collie, Braques allemands, Bulls Mastiff, Caniches, Chiens chinois à Crête, Chiens d’eau Espagnols, Chiens de Berger des Shetland, Cockers Spaniel…
 
Des maladies peuvent également être une source de cécité ou de surdité
Un chien peut devenir aveugle pour de nombreuses raisons, parfois brutalement, notamment lors de glaucome (hypertension oculaire due à un défaut de drainage), d’uvéite (inflammation à l’intérieur de l’œil), dégénérescence rétinienne (détérioration irréversible de la rétine) ou encore des effets secondaires d’une atteinte neurologique.

Quelles sont les conséquences ? Comment s’adaptent-ils ?
Le chien aveugle se cogne partout, le chien sourd ne répond pas à vos appels. 
Mais heureusement, le chien aveugle va s’adapter en utilisant d’autres repères pour se retrouver dans son environnement : les sons, les odeurs, les contacts avec les sols et le mobilier. Le chien sourd va surtout se fier à sa vue et son odorat, aux mouvements d’air, aux vibrations transmises par le sol. En outre, il existe une perception des vibrations sonores en dehors des structures de l’oreille qui permet de compenser parfois étonnamment bien les déficiences auditives : il y a en effet des petits récepteurs cutanés, musculaires, viscéraux ou dans les articulations qui détectent aussi l’existence d’ondes sonores. Le chien sourd perçoit donc les sons ou ce qui les accompagne d’une autre manière…


Quelles sont leurs perceptions du handicap ?

Quand la surdité ou la cécité existent à la naissance, la vie du chien est différente mais il est peu probable qu’il perçoive ses déficiences comme un handicap car il est vraisemblablement inconscient de ce qu’il ne possède pas. Même si ses performances sont limitées en comparaison des chiens « normaux », il s’adapte souvent remarquablement bien…
La situation est très différente lorsque le chien perd brutalement la vision ou l’audition. Dans ce cas la déficience entraîne un handicap évident, plus important dans le cas d’une cécité car la perte des repères est brutale. Dans le cas d’une surdité, il s’agit plutôt d’une perte d’information.
Chez le vieux chien, si la déficience s’installe lentement, l’adaptation est plus facile.
Le chien qui devient aveugle pourra s’adapter assez convenablement s’il ne subit pas de déménagement ou de gros changements dans l’endroit où il vit : ce n’est donc pas le moment de re-décorer votre intérieur !!!


Comment s’adapter et communiquer avec eux ?

L’idée est d’utiliser un autre canal que celui qui est déficient. 

Il suffit de parler au chien aveugle. L’idée qu’il faut parler plus fort est courante, or le chien est aveugle dans ce cas, pas sourd ! L’audition s’est parfois même développée de façon plus importante que chez la moyenne des chiens qui voient, permettant ainsi de compenser la déficience visuelle. Les apprentissages s’installent alors comme chez un chien normal : par exemple pour rappeler le chien, il est courant d’utiliser des friandises que l’on prendra soin de lui faire flairer (au lieu de les lui montrer).

Les chiens aveugles que l’on fait vivre avec un congénère sans handicap peuvent aussi apprendre à calquer leurs déplacements sur le chien normal. Certains propriétaires font même porter au chien non déficient un accessoire qui rend ses déplacements plus audibles, par exemple une clochette attachée à leur collier. Mais il n’est pas évident que le chien aveugle en ait besoin, sauf si son audition est déficiente (en plus de sa vue) ou s’il est très éloigné de son congénère. L’avantage du congénère « guide » est de représenter un repère fiable quel que soit l’endroit dans lequel l’aveugle se trouve. Lorsque l’on ne peut utiliser un deuxième chien, il faut éviter de changer les repères de l’animal lors de l’apparition d’une cécité et bien sûr, il sera mieux de laisser l’animal en garde à domicile pour les vacances plutôt qu’en pension si vous ne pouvez l’emmener avec vous.

Il faut créer une « Langue des Signes » pour les chiens sourds. Il faut se souvenir que la communication du chien ne passe pas par l’usage complexe de la langue française (ni d’aucune autre langue) et que les gestes peuvent parfaitement suffire. Même si chez le chien qui entend, la mélodie des paroles humaines est efficace et lui permet d’enregistrer entre 10 et 100 mots différents, il est tout  de même possible de communiquer sans parler. En général 5 à 10 signaux réalisés avec les mains suffisent amplement pour remplacer des ordres tels que « viens », « assis », « couché », « stop », « panier »… c’est surtout l’être humain qui a des difficultés, notamment à ne pas parler à son chien quand il est sourd, alors même qu’il sait que cela ne sert à rien.
Le chien qui devient sourd va pouvoir compenser sa déficience en étant plus attentif aux signaux visuels. Il est parfois judicieux de lui faire porter un collier qui pourra vibrer sur commande pour le rappel, notamment lorsque le chien s’éloigne ou tourne le dos, parfois sciemment car il ne veut pas rentrer !

Chez les vieux chiens ou chez les chiens devenus brutalement déficients, il apparaît parfois des comportements craintifs ou agressifs : évitez en alors de les surprendre en arrivant derrière lui (chien sourd) ou sans le prévenir à la voix (chien aveugle).
 
                                                                Docteur Muriel Alnot, Vétérinaire

 
 


 

lundi 22 août 2016

Les 9 dangers de l'été : 9. les puces & les tiques


9. LES PUCES ET LES TIQUES


Avant de partir en vacances, traitez de manière préventive votre animal contre les puces et les tiques à l’aide de l’antiparasitaire (collier, pipette, poudre…) de votre choix.
Présence de puces
Et pour cause, si les puces peuvent être embêtantes dans la commune mesure où elles vont pousser votre compagnon à se gratter, les tiques peuvent – eux – le rendre malade !
Les tiques sont partout présentes en Europe. Il en existe de très nombreuses espèces et plus de 12 d'entre elles peuvent être retrouvées sur les chiens et les chats. Il est très difficile de savoir à l'œil nu à quelle espèce appartient une tique. On parle parfois de tiques brunes et de tiques blanches, mais taille et couleur varient en fonction du stade de développement du parasite et du fait qu'il soit gorgé de sang ou pas. Seuls les spécialistes armés d'un microscope sont capables de reconnaître l'espèce d'une tique.


Tique en vue !
Le mode de vie des tiques


Les tiques se nourrissent exclusivement du sang des animaux sur lesquels elles se fixent, et ne feront que trois repas au cours de leur vie !


-  Les femelles adultes pondent sur le sol. Leurs œufs éclosent, libérant des larves ressemblant à des tiques miniatures.


-  Les larves grimpent en haut des végétaux et attendent le passage d'un hôte sur lequel elles vont s’accrocher. Les larves se fixent sur la peau et prennent un seul repas de sang, puis se décrochant, retombent sur le sol où elles se transforment en nymphes.


-  Les nymphes montent à leur tour sur des végétaux afin de parasiter un nouvel hôte. Une fois gorgée de sang, elles chutent sur le sol et passent au stade adulte.


-  Enfin, les adultes (mâles et femelles) reproduisent le même schéma : embuscade en haut d'une tige, repas sanguin unique sur un nouvel hôte et retour au sol. C'est alors que les femelles, fécondées par les mâles, pondent leurs œufs.


Pour achever leur cycle de vie, les tiques ont besoin d'une humidité modérée et de chaleur. Elles sont capables d'attendre des conditions climatiques favorables pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Par conséquent, les infestations par les tiques sont saisonnières, surtout en Europe du nord où les risques sont plus présents au printemps et à l'automne.


Il peut y avoir des tiques dans les maisons !


Une tique, qui est appelée parfois improprement "tique domestique", est fréquemment rencontrée dans le sud-est de la France (il est possible de la ramener de vacances…). Cette tique est capable de réaliser l'ensemble de son cycle de développement en intérieur. Elle peut s'installer dans les chenils ou les maisons, et être ainsi une source de contamination permanente.


Les risques que les tiques font courir aux chiens et les chats


Les tiques se nourrissant du sang de leur hôte, elles peuvent, en cas d'infestation massive, être à l'origine d'une anémie. Plus fréquemment, il peut se former un petit abcès à l'endroit de la morsure si celle-ci s'infecte, ou si on a laissé la partie antérieure (que l'on appelle habituellement "la tête") de la tique dans la peau en essayant de l'enlever. Même si elles sont peu agréables pour l'animal, ces petites lésions disparaissent dans la plupart des cas en quelques jours. L'application d'un désinfectant matin et soir est en général suffisante.


Le véritable danger des tiques réside dans les nombreuses maladies qu'elles peuvent transmettre aux animaux. Dans ce domaine, et il en va de même pour l'Homme, il y a encore beaucoup de recherches à effectuer. Il est probable que la liste des microbes pouvant être transmis aux différents animaux lors de morsure de tiques s'allongera dans les années à venir.


Les principales maladies transmises par les tiques aux chiens


-  La piroplasmose, appelée également babésiose, due à un parasite du sang.
-  L'ehrlichiose et les anaplasmoses, qui sont des maladies bactériennes.
-  La borréliose, appelée en médecine humaine maladie de Lyme.
-  L'hépatozoonose, maladie parasitaire rare en France, contractée par ingestion d'une tique.
Certaines tiques sécrétant une toxine peuvent provoquer une paralysie transitoire chez le chien.


Eviter qu'un chien ou qu'un chat n’attrape des tiques


Il existe plusieurs façons de protéger un chien ou un chat contre les tiques :


Limiter l'accès des chiens aux zones naturelles pouvant servir de refuge aux tiques. C'est assez compliqué, même en ville, car certains jardins publics peuvent héberger des tiques. Vous pouvez vous renseigner auprès de votre vétérinaire, il connaît les coins à éviter. Il est de toute façon conseillé d'examiner l'animal au retour de promenade : si des tiques sont trouvées, il faut les retirer manuellement et traiter l'animal avec un produit contre les tiques.


La méthode la plus pratique est de traiter son chien ou son chat préventivement avec un produit contre les tiques. Il en existe diverses présentations avec des modes et des rythmes d'administration variés. Demandez à votre vétérinaire de vous prescrire le produit le mieux adapté à votre cas. N'oubliez pas qu'un traitement contre les tiques doit être régulièrement renouvelé et que la protection atteint rarement les 100%. Si vous habitez dans une région à risque, il est préférable de continuer à rechercher les tiques sur les animaux au retour de promenade ou après une journée de chasse.


Attention, n'utilisez jamais un produit anti-tique prévu pour les chiens sur un chat sans l'avis de votre vétérinaire. Certains de ces produits sont mortels pour les chats.


Enlever les tiques sur un animal


Ce qu'il ne faut pas faire :
-  Tirer sur la tique : on a toutes les chances de laisser un morceau du parasite en place.
-  Appuyer sur la tique avec les doigts ou avec une pince : presser sur l'abdomen du parasite est à l'origine d'une régurgitation, or c'est au cours de la régurgitation que se produit la transmission des maladies !
-  Verser un produit sur la tique (éther, alcool, désinfectant…) ou la brûler avec une cigarette : cela produit également une régurgitation réflexe, et donc un risque majoré de transmission de maladie.


Ce qu'il faut faire :
-  Retirer la tique avec un crochet spécial : cette méthode très simple permet d'enlever la tique sans aucun risque.


Voyager avec son chien et son chat


Si vous désirez voyager avec votre animal, il est important de vous renseigner sur les risques sanitaires connus dans la région ou le pays visités. Si vous vous rendez dans une région où les maladies transmises par les tiques sont fréquentes, traitez votre animal avant de partir. Pour une bonne efficacité, les sprays et spot-on doivent être appliqués au moins 2 jours (et les colliers 2 semaines) avant le départ. Si nécessaire, pensez à renouveler le traitement pendant votre séjour.


Empêcher la contamination d’un chenil ou d’une habitation


En cas de contamination des bâtiments par la tique Rhipicephalus sanguineus, il est nécessaire de traiter à la fois les animaux et l'environnement. Il existe des produits destinés à l’élimination des tiques dans les chenils ou les maisons. Renseignez-vous auprès de votre vétérinaire.

dimanche 21 août 2016


C'est aujourd'hui que nous somme à Hastière.

Venez nous y retrouver ! Adresse du jour :
 
Salle de l'ancienne gare d'Hastière- Lavaux
Av. Guy Stinglhamber
 
 
Parking aisé devant les anciens quais !
 
 
 
Départ de la balade : 15H -Tombola - Présence de la boutique "GRB"

samedi 20 août 2016

les 9 dangers de l'été : 8. Les abeilles & les guèpes


8. LES ABEILLES ET LES GUEPES

De la mer à la montagne et de la ville jusque dans les campagnes, elles sont partout et peuvent être très dangereuses surtout si elles attaquent votre boule de poils et que cette dernière y est allergique ! En cas de piqûre, vous devez immédiatement chercher à retirer l’aiguillon et surtout, bien désinfecter la plaie. Si l’œdème est trop important, n’hésitez pas à vous rendre chez le vétérinaire le plus proche afin qu’un médicament adapté soit administré à votre animal !

Votre chien s'est fait piquer par un insecte ? Voici les soins naturels à appliquer pour le soulager :

Traitement externe:

1. Utiliser un dispositif de type AspiVenin, après avoir retiré les dards d’abeille avec une pince à épiler. Passer la zone à l’eau froide pour diminuer la douleur ou appliquer, sans appuyer, une compresse d’eau froide.

2. Appliquer ensuite 2 à 3 gouttes d’huile essentielle de : Lavande aspic (Lavandula spica) ou Lavande vraie (Lavandula angustifolia)

Poursuivre l’application d’huile essentielle de lavande 2 fois par jour jusqu’à guérison.

Traitement interne:

Selon besoin, donner 2 à 4 gouttes de Rescue (complexe de Fleurs de Bach) diluées dans un peu d’eau ou placées directement sur les gencives afin de détendre et rassurer.

Surveillance

Réaction allergique à une piqûre.
Attention, les chiens sont très sensibles à l’envenimation. Aussi convient-il d’exercer une surveillance attentive de votre compagnon suite à une piqûre d’insecte et de le conduire chez le vétérinaire au moindre signe ou comportement suspect. En effet, le risque d’une réaction allergique (rapide), d’une insuffisance rénale (jours suivants) voire d’une anémie hémolytique (urines foncées) est réel.